Section Paris 14ème

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Marseille. « Prenez le pouvoir »… Chiche !

le 25 février 2013

Marseille. « Prenez le pouvoir »… Chiche !
A la Maison des communistes
280, rue de Lyon
13015 Marseille

lundi 4 mars 2013 à 18h

Quel avenir pour Marseille ? Quelle ville demain ? Quels besoins, quelle ambition ?

Qui d’autres que les citoyennes et les citoyens pour en décider ?

Suite à l’assemblée générale des communistes de Marseille en novembre dernier, nous avons décidé ensemble d’assises citoyennes. Nous avons souhaité faire de ce projet, en accord avec nos partenaires, une initiative forte du Front de gauche. Il est temps à présent de donner le coup d'envoi.

Afin de préparer leur lancement de la démarche et d’informer le plus grand nombre.

Assemblée commune des militants du Front de Gauche de Marseille

Emploi, accès aux soins, solidarité... Restons mobilisés pour notre Centre de santé mutualiste Paul Paret

le 08 janvier 2013

Emploi, accès aux soins, solidarité... Restons mobilisés pour notre Centre de santé mutualiste Paul Paret

36e Congrès. Vote des communistes pour choisir la base commune

le 13 décembre 2012

36e Congrès. Vote des communistes pour choisir la base commune
Dans toutes les sections du PCF

Vendredi 14 et samedi 15  décembre jusqu'à 12h

Sur quoi on vote ?

Les communistes sont appelés à voter, les 14 et 15 décembre, pour choisir le texte sur Lequel ils souhaitent travailler dans la préparation du Congrès. En effet, outre le projet de base commune adopté par Le Conseil national des 13 et 14 octobre, trois textes, proposant des options stratégiques différentes, leur sont soumis. Ils sont portés par au moins 200 adhérents issus d'au moins dix fédérations. Ce vote est donc important car, sans préjuger des modifications et des enrichissements que les communistes décideront lors des congrès locaux, départementaux et national, il marquera un choix d'orientation stratégique. Pour que chaque communiste opère ce choix en toute connaissance de cause, une brochure lui est parvenue à son adresse personnelle. Elle contient les quatre textes, des contributions sur les principales questions en débat, les propositions de modification des statuts et bien sûr un bulletin de vote.

Qui vote ?

Comme Le stipulent les statuts du PCF, l'exercice de la souveraineté des adhérent-e-s est ouvert par Le paiement de la cotisation, au minimum les trois derniers mois. Les adhérents qui auraient pris du retard dans le paiement de Leurs cotisations, peuvent s'en acquitter à l'occasion de ce vote.

Comment on vote ?

Les adhérents sont appelés à voter dans leur section -ou fédération- selon une plage horaire décidée par [es collectifs de direction concernés. Nationalement, Le scrutin est ouvert te 14 décembre à 8 heures et clos Le 15 décembre à 18 heures.

Il est possible aussi de voter par correspondance. Pour cela, il convient de glisser son bulletin de vote rempli dans une première enveloppe anonyme et cachetée qui sera elle-même introduite dans une seconde enveloppe sur laquelle figureront te nom, le prénom, la section et la signature du votant. La Liste des cotisants constituant la Liste d'émargement dans chacun des bureaux de vote.

36e Congrès. Vote des communistes pour choisir la base commune

le 10 décembre 2012

36e Congrès. Vote des communistes pour choisir la base commune
Dans toutes les sections du PCF

Vendredi 14 et samedi 15  décembre jusqu'à 12h

Sur quoi on vote ?

Les communistes sont appelés à voter, les 14 et 15 décembre, pour choisir le texte sur lequel ils souhaitent travailler dans la préparation du Congrès. En effet, outre le projet de base commune adopté par le Conseil national des 13 et 14 octobre, trois textes, proposant des options stratégiques différentes, leur sont soumis. Ils sont portés par au moins 200 adhérents issus d'au moins dix fédérations. Ce vote est donc important car, sans préjuger des modifications et des enrichissements que les communistes décideront lors des congrès locaux, départementaux et national, il marquera un choix d'orientation stratégique. Pour que chaque communiste opère ce choix en toute connaissance de cause, une brochure lui est parvenue à son adresse personnelle. Elle contient les quatre textes, des contributions sur les principales questions en débat, les propositions de modification des statuts et bien sûr un bulletin de vote.

Qui vote ?

Comme Le stipulent les statuts du PCF, l'exercice de la souveraineté des adhérent-e-s est ouvert par Le paiement de la cotisation, au minimum les trois derniers mois. Les adhérents qui auraient pris du retard dans le paiement de Leurs cotisations, peuvent s'en acquitter à l'occasion de ce vote.

Comment on vote ?

Les adhérents sont appelés à voter dans leur section -ou fédération- selon une plage horaire décidée par [es collectifs de direction concernés. Nationalement, Le scrutin est ouvert te 14 décembre à 8 heures et clos Le 15 décembre à 18 heures.

Il est possible aussi de voter par correspondance. Pour cela, il convient de glisser son bulletin de vote rempli dans une première enveloppe anonyme et cachetée qui sera elle-même introduite dans une seconde enveloppe sur laquelle figureront te nom, le prénom, la section et la signature du votant. La Liste des cotisants constituant la Liste d'émargement dans chacun des bureaux de vote.

Création de l'espace citoyens des Quartiers Nords de Marseille

le 27 novembre 2012

Création de l'espace citoyens des Quartiers Nords de Marseille
A l'Harmonie de l'Estaque
38, rue Le Pelletier
13016 - Marseille

samedi 1er décembre à 10h

La situation politique actuelle oblige à ne pas "baisser les bras" mais au contraire à rester vigilant et à se battre pour obliger le gouvernement et ses representants au niveau local à conduire une politique de gauche.

A chaque occasion, Il faut dire la volonté de voir une nouvelle orientation politique et formuler des propositions.

Des citoyens issus du comité de soutien de Jean-Marc Coppola et d'autres, se sont réunis deux fois à l'Harmonie. Préoccupés par la situation politique générale, ils sont favorables à une rassemblement de citoyens progressistes, de miltants associatifs, syndicalistes, politiques dans les 15eme et 16eme arrondissements à la fois lieu d'education populaire, lieu de propositions.

Cet espace pourrait proposer des reunions publiques thématiques sur la durée mais aussi des lieux, de connaissances et  de compréhension des enjeux, tout cela en vue de faire grandir un rapport de force à quelques mois d'echéances locale importantes comme les elections municipales.

Centre de santé Paul-Paret. « Sauvez notre Centre »

le 25 novembre 2012

Centre de santé Paul-Paret. « Sauvez notre Centre »

Mutuelles. Une chaîne humaine d'usagers et de professionnels de santé et des élus pour exiger le sauvetage du Centre médical mutualiste Paul-Paret et empêcher la désertification médicale.

« Le processus mortel est en route, il faut l'arrêter. C'est catastrophique. Où iront se faire soigner tous ces gens souvent dans le besoin, quand on voit déjà l'encombrement sur l'hôpital Nord ? », interroge Serge Baroni. Ce Conseiller Municipal (PCF) des Pennes-Mirabeau est venu défendre le Centre médical Paul-Baret à Saint-Antoine menacé de fermeture avec dix autres centres mutualistes. « Ce Centre porte une histoire qui arrache les tripes. Il a été donné par le Dr Paul Paret ! », rappelle l'élu.

Une centaine d'usagers, de militants et des élus comme lui ont répondu hier matin à l'appel du comité de soutien et ont formé une chaîne humaine le long de l'avenue de Saint-Antoine pour que soit sauvé ce Centre voué à la fermeture, suivant le projet de restructuration du Grand Conseil de la Mutualité en redressement judiciaire.

« Je refuse de renoncer à une médecine sociale, à des soins de qualité pour tous et à un droit d'accès égal pour tous à la santé », insiste Nicole Vial qui se présente comme « usager du réseau mutualiste, membre du comité de soutien et des amis de la médecine sociale et mutualiste », une association créée en août par des salariés, médecins et usagers du GCM qui se positionne comme repreneur potentiel. « Ce Centre représente depuis 50 ans la possibilité pour tous les habitants des quartiers nord d'être soigné par une équipe pluridisciplinaire. C'est un Centre de mixité sociale, ce n'est pas un dispensaire pour pauvres. Le tiers payant était encore possible jusqu'à cette circulaire qu'un médecin a dénoncé et qui a été mis à pied. Avec cette circulaire, ils ont commencé à vidanger à refouler des bébés », explique-t-elle, non sans déplorer « les renoncements à se battre » du Grand Conseil et son « manque de démocratie, l'absence d'assemblée générale des adhérents ».

Emillienne est fidèle au centre Paul-Paret où elle vient depuis vingt ans. « Ici, on a tous les praticiens qu'on veut, dentistes, radiologue, cardiologue, un laboratoire, pédiatre. Et puis c'est social, humain, y a une vraie proximité. Tout ce qui a été gagné par le Grand Conseil de la Résistance se dégrade », soupire la septuagénaire qui défile avec une pancarte « Touche pas à mon Centre! ». « Il ne faut pas oublier la responsabilité du gouvernement et de la tutelle des Mutuelles de France », tient à dire Raymond Navarro.

Jean-Marc Coppola, Vice-Président de la Région (PCF) est venu leur exprimer son soutien. « Le plus grand danger, c'est de laisser se constituer un désert médical dans ces quartiers populaires alors qu'on voit bien le lien entre précarité et détérioration de la santé. On ne peut pas non plus accepter un plan social qui touche 1.200 emplois. Le gouvernement ne peut pas valider les décisions purement comptables du Grand Conseil. J'invite le gouvernement à mettre en place un médiateur. La direction reste droit dans ses bottes, elle n'écoute plus, elle insulte et critique ceux qui luttent. L'invective prend le pas sur l'intérêt général. Certains misent sur un conflit très dur. »

Elle s'est mis un bandeau noir de colère sur le front. Chantal Rose, 68 ans, défile énervée. « 46 ans que je suis à Paul-Paret et là j'ai une colère que je vous dis pas ! Pas tout le monde à les moyens de payer les visites. Je ne peux pas aller me soigner dans le privé. Déjà qu'avec ma pension, j'ai du aller faire des repassages jusqu'à, la Corniche ! S'il faut monter à Paris, on ira ! Sauvez notre Centre ! »

David Coquillé (La Marseillaise, le 25 novembre 2012)

Soirée de lancement de la JC Quartiers Nords

le 15 novembre 2012

Soirée de lancement de la JC Quartiers Nords
Au Cercle Populaire
150, rue de Lyon
13015 - Marseille

vendredi 23 novembre à 19h

Cette soirée sera l'occasion de présenter la JC aux habitants du quartier, ainsi que de procéder à de nombreuses remises de cartes à nos nouveaux camarades des Quartiers Nords.

Marseille Quelle réalité aujourd'hui ? Quelle ville demain ?

le 09 novembre 2012

Marseille Quelle réalité aujourd'hui ? Quelle ville demain ?
Au Théâtre Mazenod
88, rue d’Aubagne
13001 - Marseille

Vendredi 16 Novembre à 18h

Rencontre - Audition - Débat avec la partcipation de :

  • Yves Castino (santé)
  • Nicole Cohen-Seat Borvo (institutions)
  • Agnès Freschel (culture)
  • André Jollivet (urbanisme et architecture)
  • Corinne Vialle (éducation)
  • Salavatore Condro (sociologue)

La deuxième ville de France est depuis quelques mois sous les feux des projecteurs des médias - Marseille serait la ville de tous les maux - mais aussi du gouvernement dont les membres, du plus éminent aux secrétaires d’Etat, viennent régulièrement à son chevet.

Certains pensent que la solution aux problèmes est institutionnelle, en avançant le projet de Métropole. D’autres pensent que rien n’y fera.

Toujours est-il que Marseille et sa population ont vécu ces dernières années de profondes mutations, à coup de politiques libérales laissant la part belle aux privés, à la finance, au détriment de la réponse aux besoins sociaux et d’un développement urbain harmonieux.

Nous pensons que c’est par l’intervention citoyenne des habitants de Marseille, à partir de leur propre vision de la ville et des aspirations populaires, qu’ils se réapproprieront la cité, en termes d’espace public et de démocratie.

Marseille possède de forts atouts en commençant par sa population, sa diversité, son énergie. C’est sa richesse. Il lui manque un projet mobilisateur, rassembleur pour construire une ville de vivre ensemble. Il lui manque surtout des moyens publics.

Pour cela nous envisageons d’organiser des Assises citoyennes pour Marseille.

Pour nous aider à préparer ces Assises, nous vous invitons à nous faire partager votre vision de Marseille, d’aujourd’hui et surtout pour demain, à partir de vos connaissances, expériences et responsabilités.

 

A Marseille, l'expulsion des Roms fait polemique

le 01 octobre 2012

A Marseille, l'expulsion des Roms fait polemique

Nombreuses réactions indignées après l'évacuation, jeudi dernier, par des riverains eux-mêmes, d'un campement situe dans une cité abandonnée des quartiers nord.

On ne sait si Marseille est une ville en perdition, comme le procès, en est fait à Jean-Claude Gaudin, mais depuis jeudi dernier un fait incontestable est établi : une partie de la ville est clairement laissée à l'abandon. Comment interpréter autrement l'épisode d'expulsion de Roms par des habitants dans une cité des quartiers nord de la ville ! Pour rappel : une cinquantaine de Roms s'étaient installés en début de semaine dernière près de la cité des Créneaux avec voitures et caravanes. Quelques riverains avaient prévenu le bailleur social, la police et la mairie d'arrondissement. Jeudi soir, ils ont décidé de « convaincre » les Roms de quitter les lieux. Sous la pression physique de plusieurs dizaines de personnes et sous l'œil d'une patrouille de police spectatrice, les Roms sont partis. Le feu a alors été mis à quelques affaires (meubles et vêtements) abandonnées. Les marins-pompiers ne seront jamais prévenus et l'incendie se poursuivra pendant quelques heures.

Les braises encore fumantes, Jean-Claude Gaudin s'en prenait aux médias « qui donnent une image noire de Marseille » et à Samia Ghali, sénatrice PS et Maire des arrondissements concernés, qui s'était distinguée, il y a quelques semaines, en lançant un appel à l'intervention de l'armée. « Je ne minimise pas les faits mais il n'y a pas eu de drame », a commenté. pour sa part, l'élue socialiste.

« Ce sont des gestes graves que nous n'acceptons pas, car ils portent en eux la barbarie. Cette réaction révoltante, nous ne voulons pas tomber dans le panneau d'en faire porter la responsabilité première aux habitants ». a réagi Pierre Dharréville, au nom du PCF qui a rappelé : « C'est l'État lui-même qui a donné le mode d'emploi de la chasse et de la destruction de leurs maigres biens ».

Une responsable de Rencontres tziganes rappelait ce week-end que les familles délogées des Créneaux avaient déjà tenté de se poser dans plusieurs autres endroits sans qu'une solution durable ne leur soit proposée. Que leur arrivera-t-il au prochain arrêt ? La préfecture reconnaît d'ailleurs que « cette affaire fait suite à des faits récurrents d'agression ou d'opposition entre les riverains et les occupants de campements illicites depuis cet été ».

Christophe Deroubaix (L'Humanité, le 1er octobre 2012)

Santé. Deux pétitions pour l'ouvrir

le 26 juillet 2012

Santé. Deux pétitions pour l'ouvrir

Partie de campagne pour les militants du Front de Gauche pour dire non au démantèlement des Centres mutualistes comme au Traité budgétaire.

Ils ont un caractère unique, sont indispensables aux habitants et sont très fréquentés : c'est au titre du patrimoine sanitaire que les Centres mutualistes de santé devraient être inscrits. Or, bien qu'ils représentent la 2e offre de soins après l'hôpital ils sont menacés de fermeture. A Saint-Antoine, on n'est pas d'accord.

Rue de la Gavotte dans le 15e arrondissement de Marseille, pas de pause dans le turn-over des chaises prévues pour l'accueil du public de l'établissement mutualiste. Mais ce n'est pas pour la clim' qu'on y vient. « Et comment je ferais si je n'avais pas Paul Paret ? Je n'irai me soigner que dans l'urgence » explique cette mère de famille qui ressort dossier en main du Centre médical. Comme elle, ils sont 200.000 usagers des Centres mutualistes dans les Bouches-du-Rhône. Et comme elle, ils s'inquiètent de la menace de fermeture qui pèse sur depuis un an sur les Centres de santé et oeuvres sociales mutualistes du département. Une menace qui plombe encore plus l'emploi avec la perte annoncée de 1.200 postes sur ce secteur.

Question d'intervention citoyenne

Dehors, deux tas de pétitions sur les tables de camping et stylos en main, une dizaine de militants du Front de Gauche s'adressent aux passants, aux patients, un peu étonnés. Entre « Sauver Paul Paret » ou « Sortons de l'austérité », Michel ne sait que choisir… Justement, il n'y a pas à choisir, « les deux vont de paires », explique Claude, militante au PCF, « si on ne demande pas le référendum, comment pourrait-on obtenir les mesures demandées ? »

Difficile en effet de débloquer les 3 millions d'euros qui manquent à la trésorerie des mutuelles pour sauver Paul Paret si les budgets restent serrés.

Deux signataires se distinguent devant le Centre Paul Paret : l'élu communiste Jean-Marc Coppola et le Secrétaire de la Fédération des Bouches-du-Rhône Pierre Darrhéville ne démentiront pas les propos de la dame : « le pacte budgétaire européen conforte les politiques d'austérité », estime Jean-Marc Coppola, « il faut renégocier ce traité, car tant qu'il est là, même annexé du pacte de croissance, et on le voit en Espagne, il y aura austérité. Or cette question ne peut pas être tranchée uniquement par les parlementaires, c'est une intervention citoyenne qu'il faut, ce que vise la pétition ». Et selon l'élu, « demander un référendum, c'est apporter un soutien à François Hollande ».

C'est l'été et pour ne pas fermer leur Centre, ces militants l'ouvrent. Ils ont démarré leur tour de pétitions dès samedi à Septèmes, ils y seront encore vendredi devant Intermarché, puis devant ED à Plan de Campagne… Alors que les Régions et autres collectivités territoriales travaillent à leur budget 2013, les chiffres s'annoncent sévères. Pas de fatalisme chez l'élu communiste qui préconise : « il faut annuler le traité et réaliser une vraie réforme fiscales ».

Myriam Guillaume (La Marseillaise, le 26 juillet 2012)